Un nouveau portrait dans l’entreprise avec Valentin Manceau – Episode n°7

C’est en septembre 2022 que Valentin Manceau a intégré l’entreprise. C’est peut-être aussi le fait de se sentir bien à Saint-Malô-du-Bois qui a motivé un choix de changement professionnel.

« Cela fait 7 ans que nous avons acheté sur la commune. On était locataires sur Treize Vents, on se sentait bien dans le coin. On a cherché sur les Epesses, Saint Mars… »

Et c’est finalement à Saint-Malô-du-Bois que Valentin et son épouse Estelle ont posé leurs bagages. Désormais la petite famille agrandie par la venue de Khélio, il y a 5 ans et de Talya, il y a 6 mois s’épanouit pleinement à la campagne.

Et c’est donc naturellement que Valentin est venu frapper à la porte d’une entreprise locale. « Ça m’avait l’air pas trop mal ! » sourit-il.

Après 11 années passées dans une entreprise Flocéenne, Valentin découvre une entreprise familiale où « il s’est senti bien accueilli ».

« C’est une nouvelle expérience. Il y a plusieurs domaines d’activités dans l’entreprise, on ne fait pas du copié collé de travaux comme je pouvais le faire avant sur beaucoup de HLM. Je découvre les autres métiers, ça me permet de connaître autre chose. Il y a plus de coordination avec le reste de l’équipe » poursuit Valentin, spécialisé dans les plaques de plâtre.

Son regard sur le nouveau gérant ? « C’est François qui m’a recruté. Je n’ai pas de recul car finalement, je n’ai eu que très peu de temps avec Cyril et Pascal, cogérants ».

La jeunesse de l’équipe lui plaît et l’arrivée du numérique impulsée par François est un plus pour le plaquiste : « Avec les tablettes, ça nous évite d’avoir des plans en papier par exemple. »

Valentin ne faisait que très peu de chantiers pour les particuliers auparavant.  Il apprécie le contact direct avec les clients : « On peut penser les projets avec eux et s’adapter à leurs envies ».

Son avis sur l’avenir du métier : « C’est un métier d’avenir, dans lequel on s’épanouit. J’ai toujours été manuel. J’étais en MFR et c’est grâce à ce parcours que j’ai découvert plusieurs métiers. »

Son mot de la fin : « Je ne regrette pas mon choix ! »